Depuis toujours Marguerite se sent différente, en décalage avec les autres. Avec ses amis, sa famille, au travail, elle lutte contre ses peurs et ses habitudes pour maintenir les apparences de « normalité ». Jusqu’au jour où elle est diagnostiquée autiste Asperger. C’est le déclic. Un nom sur son mal-être : « il est normal qu’elle soit anormale ».
Commence alors une nouvelle vie où elle se découvre, s’accepte, affirme sa différence et la confronte aux multiples réactions de son entourage personnel comme professionnel.
Un très beau récit, touchant et émouvant, qui ouvre les yeux sur l’autisme et plus généralement sur toutes les différences invisibles. Une invitation à la compréhension et à la tolérance.
Paris, années 20. Encore étudiante chez André Lhote, Tamara de Lempicka est l’une des artistes les plus en vue de la capitale. On se l’arrache dans les fêtes et les cabarets des années folles. Ces soirées sulfureuses et libertaires sont la source de conflits avec son époux, qui lui reproche de délaisser leur fille. Mais Tamara, dont l’art fait vivre sa famille, entend bien conserver sa vie de femme indépendante.
Une biographie passionnante, dont le dessin s’allie parfaitement à l’œuvre du peintre pour décrire une époque. Mais surtout le portrait d’une femme forte, libre et terriblement moderne.