Alexandrin, doux rêveur, désenchante lorsqu’il prend conscience que ses papillons ont disparu.
« Je les savais ici depuis ma tendre enfance, fidèles et valeureux. Les papillons n’étaient plus là ! Ils avaient déserté mon ventre. »
Ces petits frémissements qui palpitaient au creux du ventre ont laissé place au vide. Il faut les retrouver, réapprendre à aimer. C’est alors qu’arrive Marie…
« Comme descendue des cimes où résident les étoiles, telle une épiphanie. Elle s’appelait Marie. C’est l’anagramme d’aimer. Je l’ignorais alors. Je le sais à présent.«
Un roman lumineux et enjoué, doux et léger comme une aile de papillon, à la poésie qui fond comme un bonbon sous la langue.