Le grand feu, de Léonor de Récondo

A sa naissance, Ilaria est confiée par sa mère à la Pietà, institution vénitienne qui accueille principalement des orphelines et les élèvent dans le chant et la musique, tout en les coupant du monde extérieur. Elle devient l’élève du jeune Vivaldi et découvre la force de l’amitié et le monde extérieur en se liant avec Prudenza.

« Epidémies, joies, secrets, éblouissements d’eau et de feu, le petit cœur vivra son temps, traversé d’appréhensions et gonflé de bonheurs, oublieux, lâche et parfois courageux, mais toujours régulier à battre la mesure de la vie d’Ilaria. […] Aimera-t-elle ? Partira-t-elle ? Fera-t-elle le choix de rester ici pour aider d’autres femmes à s’élever, à se libérer ? » 

Un roman qui nous emporte dans Venise autour de la passion dont le feu ronge de l’intérieur, passion pour la musique, passion amoureuse, qui portent et consument une jeune femme en éveil. Léonor de Récondo nous plonge dans un univers musical qu’elle connait bien dans un roman qui laisse cependant un petit goût de trop peu…

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