Glouton, Carcajou et Roussette sont d’accord sur un point : blaireaux et renards ne sont pas faits pour s’entendre ! Mais les parents ne partagent pas cet avis.
Pire : Monsieur Blaireau et Madame Renarde décident qu’ils vont tous vivre dans le même terrier !
Une première BD portée par des illustrations toutes douces qui abordent les thèmes de la différence et des familles recomposées avec beaucoup de délicatesse et une pointe d’humour.
Archives mensuelles : avril 2019
Maïmaï d’Aki Shimazaki
A la mort de sa mère, Taro, son fils sourd et muet, découvre des facettes inconnues de cette femme discrète et séduisante propriétaire d’une librairie.
Le récit subtil et délicat s’attache à un jeune homme qui découvre les secrets de l’histoire familiale.
Une vielle colère, de Michel Maisonneuve
Envoyé en maison de repos, Daniel tient compagnie à son grand-père. Un beau matin, celui-ci déclare qu’il ne s’appelle pas Joseph Viterbo mais Guilio Dellacroce, sans plus d’explication. L’adolescent va alors plonger dans le passé secret et trouble de cet homme venu d’Italie un demi-siècle auparavant.
Un récit initiatique qui nous plonge dans les troubles de l’Italie mussolinienne et dans les secrets d’une famille où sourd une vielle colère…
C’est pas ma faute, Christian Voltz
Rien ne va plus à l’étable ! La vache, l’âne, le cochon, le chien, le chat, le poussin et… un moustique qui passait par là, par un étonnant concours de circonstances, ont botté les fesses de la fermière !
Une histoire drôle superbement illustré par les bricolages de Voltz !
Tout doit disparaître, de Mickael Ollivier
Lorsque ses parents sont mutés, Hugo quitte le nord de la France pour les tropiques de Mayotte. L’adaptation est dure. Pourtant, quand il regagne la métropole quatre ans plus tard, il a encore plus de mal à s’intégrer. Complètement changé par son expérience, il rejette la société de surconsommation et entre en résistance.
À travers le portrait d’un adolescent qui grandit, se cherche et se questionne sur le monde qui l’entoure, l’auteur nous interroge sur notre société de consommation soumise au dictât des marques et des pubs omniprésentes.
Gare à Lou, de Jean Teulé
Une beau jour la jeune Lou, 12 ans, découvre qu’elle peut, d’un souhait, faire tomber les pires calamités sur la tête de ceux qui la contrarient. Le chef de l’état l’enlève alors pour l’enfermer avec les trois chefs de guerre et faire de son don une arme au service du pays. Mais tout ne se déroule pas comme prévu.
Un texte complètement loufoque dans la veine du Magasin des suicides.