La femme qui ne vieillissait pas, de Grégoire Delacourt

 »J’ai regardé mon visage, ce visage de quinze ans de moins que moi, et j’ai pensé avec mélancolie à ces femmes qui donnent tout pour ce qui est en réalité une malédiction »

Ce beau texte teinté de mélancolie offre une réflexion sur le temps qui passe, la manière dont chacun l’appréhende et sur les âges de la vie qui apportent leurs lots de joies, plaisirs et peines.

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