Le livre déroule la confession d’une femme condamnée, une femme qui s’est tue mais se livre, avant la fin. Elle déroule le fil de son histoire jusqu’à ce qu’on comprenne ce qu’elle a subi et ce qu’elle a fait pour en arriver là.
Un
texte court et percutant qui se lit d’une traite.
Rex est un être biomorphe créé par l’homme, animal génétiquement modifié et armé, conçu pour obéir : le Maître désigne l’ennemi ; Rex tue l’ennemi ; Rex est un bon chien. Mais le Maître a-t-il toujours raison ? Et si le Maître n’était plus là ?
« Qu’est
ce que tu es rex? Un homme un chien ou une machine ? Ou une menace ? »
Un récit qui interroge sur le statut pour ces créatures, leur capacité à avoir une conscience et des sentiments, leur droit de vivre, d’être libre. Une réflexion sur l’intelligence animale, biomorphe et artificielle, qui questionne sur la responsabilité de celui qui crée, de celui qui donne des ordres ou qui obéit : où situer le bien du mal ? Culpabilité de l’arme ou de celui qui la manie ?
Voilà maintenant dix ans que les hommes du village sont partis, mobilisés de force pour la Grande Guerre. Dix ans qu’ils ont laissé femmes, enfants et anciens pour un conflit loin de chez eux… La jeune Molly est heureuse car elle peut enfin commencer l’entrainement pour tenter d’entrer dans l’ordre prestigieux des Bergères guerrières : un groupe de femmes choisies parmi les plus braves, pour protéger les troupeaux mais aussi le village ! Pour faire face aux nombreuses épreuves qui l’attendent, Molly pourra compter, en plus de son courage, sur Barbe Noire, son bouc de combat, mais également sur l’amitié de Liam, le petit paysan qui rêve aussi de devenir Bergère guerrière même si ce n’est réservé qu’aux filles…
Une chouette série avec des personnages attachants et un univers qui s’approfondit au fil des tomes.
Les habitants du village de Mitsuke sont sommés par un kakuen, une créature mi-homme mi-singe, de déposer une jeune fille en sacrifice au sanctuaire dédié à Tenjin. Le jeune bonze Benzon part alors pour le temple Kôzen-ji chercher de l’aide, et revient en compagnie du célèbre Hayate, un chien exorciste, pour tendre un piège à la créature malfaisante qui terrorise les villageois.
Mais rien ne se passe comme prévu quand Mashira le kakuen décide d’adopter le superbe chien…
Une belle histoire d’amitié tumultueuse avec des personnages attachants, qui nous plonge dans un Japon légendaire.
La
famille Portepoisse est une famille de porte-malheurs qui, chaque
jour, distribue aux humains des
tickets-poisse. Simon, petit dernier,
n’est pas comme les autres et préfère
les bonnes nouvelles aux
mauvaises.
Quand
le jour arrive de distribuer son premier ticket, leur chat noir,
Georges,
essaie de lui expliquer qu’une mauvaise nouvelle de temps en temps
permet
de mieux apprécier les moments de bonheurs, mais le garçon reste
sceptique.
Arrivera-t-il
à remettre son premier ticket porte-poisse pour annuler les vacances
de la famille Chouquette ?
Une
BD pleine d’humour qui montre que chaque malheur peut avoir un revers
positif, et inversement.
« Impossible
de savoir combien de vies tu mènes de front : il y a la femme qui se
bat le jour ; celle qui se noie la nuit : celle qui découvre au pied
du mur le métier improbable de maman ; celle qui apprend à nager en
se noyant ; celle qui n’est pas encore arrivée mais – tu l’espères
– se pointera bientôt pour voler au secours de toutes les autres :
la superwoman en toi. »
Ce
récit universel
s’adresse
à une femme qui vient d’être quittée et doit gérer seule son
bébé, l’écriture de sa thèse, son travail de metteuse en scène…
une mère célibataire qui se bat pour être une cheffe de famille à
part entière et mener de front sa vie de femme,
d’artiste et de mère.
Tous les ans à la mi-carême, la salpêtrière ouvre ses portes au Tout-Paris pour un bal costumé qui attire les curieux, avides d’observer les folles qui y sont enfermées. Pour la jeune Louise, condamnée pour hystérie, ce bal cristallise ses espoirs de sortie. Geneviève, infirmière par vocation, veille sur les malades. Lorsque Eugénie y est envoyée par son père pour prétendre voir les esprits, aucune ne se doute que cette jeune femme au caractère libre et indépendant va faire vaciller leur quotidien.
Un
roman réussi qui nous entraîne dans le quotidien de ces femmes
enfermées malgré elles par une société patriarcale qui réprimande
tout ce qui n’est pas la norme.
« Un dépotoir pour toutes celles qui nuisent à l’ordre public. Un asile pour toutes celles dont la sensibilité ne répond pas aux attentes. Une prison pour toutes celles coupables d’avoir une opinion… aucune femme n’a jamais la totale certitude que ses propos, son individualité, ses aspirations ne la conduiront pas entre ses murs redoutés. »
L’année de seconde commence mal pour Thisbé : elle n’est pas dans le même lycée que sa sœur jumelle et leurs parents divorcent. Quand arrive dans sa classe un réfugié syrien, elle est tout de suite attiré par ce garçon mystérieux qu’elle veut connaître. Elle va l’aider à s’intégrer et à réaliser son souhait d’être heureux 21 jours de suite.
Une belle et touchante histoire qui aborde aussi bien les problèmes familiaux que les questionnements d’ado et surtout qui appelle à s’ouvrir aux autres, à comprendre et accepter la différence.
En plein cœur de la longue nuit arctique, une jeune Inuit est séparée des siens par la glace qui se fend. Elle se retrouve seule avec quelques jeunes chiens affamés face auxquels elle va devoir s’imposer pour survivre, trouver un refuge. Une longue quête solitaire qui va lui ouvrir les portes de son monde intérieur.
Un
beau texte qui nous immerge dans les coutumes et superstitions de ce
peuple de chasseurs nomades, dont la vie est rythmée par
l’alternance des saisons et les conditions extrêmes qu’elles
imposent.
1910,
Ellis Islande. Après un long voyage et nombre d’épreuves qui les
ont poussés à partir, ils sont rassemblés sur cette île, aux
portes de New-York. Il y a l’italien Donato et sa fille Emilia,
éprise de liberté. Esther, l’arménienne seule rescapée d’un
massacre. Gabor, à part parmi les siens. Et tant d’autres. Le temps
d’un jour et d’une nuit, ils vont devoir attendre, avant de pouvoir,
enfin, gagner l’Amérique. Un jeune new-yorkais, photographe amateur,
capture des images de ces migrants.
Un
roman qui parle de l’exil, de ce qui pousse à part, de la force et
du courage. Mais aussi de la vie nouvelle qui attend, promesse
d’espoir.