
Elles/ils exagèrent les féministes ! C’est pas avec un titre et des propos pareils qu’elles/ils vont rallier les réfractaires, sceptiques et récalcitrants/es au débat à leurs causes… C’est contre-productif cet acharnement contre le patriarcat, le capitalisme, la normativité hétérosexuelle et la dénonciation des violences : ça ne fait que braquer l’opinion publique dérangée par l’outrance et l’exagération. Pas bravo…
Fichtre diantre ! Ça ne sort pas de leurs bouches de révolte mais de celle d’un « prêcheur » américain ?
Tu veux dire, Alex, à travers tes mots poétiques et posés sur de l’incontestable que la stigmatisation des combats viendrait de celles et ceux que ça « ennuie » profondément d’imaginer qu’un autre réel se dessine ?
C’est bien chiant… Il va falloir interroger le discours plein de sauge et de sel rose des sorcières héritières d’un colonialisme longtemps décomplexé, celui de la justice si prompte à absoudre, à grands renforts de barème, la violence systémique de la société, un rapport aux autres fait de domination ?
Tu veux vraiment, Alex, qu’on se mette à penser et à réfléchir à ses rapports de force tellement ancrés qu’ils en sont devenus la « vérité » ?
Toi, toi… J’ai l’impression que tu veux dire que les « en place au premier rang » nous racontent tout un tas de salades pour nous faire penser que changer, c’est crever. Euh… Ou pas.
Deux mille ans de patriarcat et quelques margaritas, c’est cher payé mais ça se tente
Venez, on vous en parle a la librairie !
Et clin d’œil avec les doigts pour l’excellente bibliographie de cet ouvrage, manifeste poétique documenté et sciemment provocateur.